Le projet a fait partie d’un programme international dans quatre pays d’Afrique ciblés Madagascar, Guinée, Mozambique, Ouganda en raison de la biodiversité remarquable qu’ils abritent et de l’essor qu’y connaissent les secteurs économiques à forts impacts environnementaux. Il entendait définir un cadre institutionnel et des mécanismes de compensation visant une « absence de perte nette de biodiversité » tout en générant des fonds supplémentaires pour la conservation de cette dernière. La compensation écologique peut se définir comme un ensemble d’actions en faveur des milieux naturels et des espèces animales et végétales sauvages permettant de contrebalancer les dommages causés par la réalisation d’un projet et qui n’ont pu être suffisamment évités ou réduits. La compensation s’inscrit donc dans une séquence « Eviter, Réduire, Compenser » (ERC) dite hiérarchie d’atténuation.
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