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30 ans de solutions innovantes au service du vivant

Depuis 30 ans, le FFEM a su être à l’écoute des besoins locaux et des accords environnementaux multilatéraux, en s'appuyant sur la science pour orienter sa stratégie, innover et relever les défis mondiaux de l’environnement et du développement.
Les années 1990
Né en 1994 dans l’élan du Sommet de la Terre de Rio et des grandes conventions environnementales, le FFEM s’impose dès ses débuts comme un acteur précurseur, soutenant des projets pionniers en biodiversité, énergies renouvelables en zones rurales et efficacité énergétique des bâtiments.
- Premier Sommet de la Terre à Rio.
- Signature des trois conventions sur la diversité biologique, le changement climatique et la lutte contre la désertification.

Création du Fonds français pour l’environnement mondial (FFEM).

- Le FFEM fait partie des premiers bailleurs bilatéraux agissant dans le bassin méditerranéen pour préserver la biodiversité du milieu côtier et marin.
- Il finance des projets d’électrification rurale basés sur des énergies renouvelables en zones reculées.

Le FFEM s’engage dans la promotion de l’efficacité énergétique des bâtiments.

Les années 2000
De 2000 à 2007, le FFEM élargit son action en soutenant les premières initiatives d’agriculture durable et de gestion intégrée des ressources naturelles, tout en s’engageant résolument dans la lutte contre la pollution et le changement climatique, avec le lancement de projets emblématiques d’élimination des polluants, de préservation de la biodiversité par la société civile et d’adaptation aux effets du dérèglement climatique.
- Des premiers projets d’agriculture durable sont financés dans les pays sahariens et sahéliens, pour lutter contre la désertification.
- Le FFEM soutient la gestion intégrée des bassins versants et des zones côtières.

- Entrée en vigueur de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants.
- Le FFEM soutient ses premiers projets d’élimination des polluants et promeut des alternatives à leur utilisation.

- Le FFEM lance le premier Programme de petites initiatives (PPI) qui s’appuie sur la société civile pour la préservation de la biodiversité.
- Entrée en vigueur du Protocole de Kyoto.

- Montée en puissance des projets de lutte contre le changement climatique dans l’activité du FFEM.
- Le Fonds soutient notamment ses premiers projets d’adaptation au changement climatique.

Les années 2010
Dans les années 2010, le FFEM renforce son engagement face aux enjeux globaux en intégrant la haute mer à ses priorités, en mobilisant le secteur privé pour le climat avec la FISP-Climat, et en adoptant une approche pleinement alignée avec l’Accord de Paris et les Objectifs de développement durable. Il bénéficie d’un soutien renforcé de l’État et fait de l’économie circulaire et de la lutte contre les pollutions un axe stratégique central.
Le FFEM ajoute la protection de la haute mer à sa stratégie.

Le FFEM crée la Facilité d’innovation du secteur privé dans le domaine du changement climatique (FISP-Climat).

- Accord de Paris sur le climat.
- Adoption des 17 Objectifs de développement durable des Nations unies. Le FFEM poursuit son approche intégrée de la préservation de l’environnement et du développement.

- Hausse de 30 % des ressources allouées par l’État français au FFEM pour le financement de projets sur 2019-2022.
- Le FFEM fait de l’économie circulaire, de la gestion rationnelle des déchets et de la lutte contre les pollutions un axe prioritaire de sa stratégie.

Les années 2020
Depuis 2021, dans un contexte d’accélération des engagements internationaux pour le climat et la biodiversité, le FFEM s’affirme comme un acteur clé des transitions environnementales en soutenant la mise en œuvre du cadre mondial biodiversité, en renouvelant sa stratégie (2023–2026) et en intégrant de nouveaux enjeux comme la santé environnementale, la finance carbone ou la nature en ville, tout en renforçant son action en haute mer et en faveur des forêts tropicales.
Momentum international sur la biodiversité et climat : Congrès mondial de la nature de l’UICN, CoP Biodiversité, CoP Climat.

- Adoption du nouveau cadre mondial pour la biodiversité
- Reconstitution du FFEM à hauteur de 132 M€
- Accord historique à la COP 15 d’un cadre mondial de la biodiversité avec l’objectif 30X30 : Cet objectif international vise à protéger 30% des terres et 30% des océans d'ici 2030.

- Lancement de la stratégie 2023-2026 du FFEM et publication de 5 plaquettes thématiques.
- Juin : Publication des nouvelles capitalisations du FFEM sur la gestion durable des forêts en Afrique centrale et l’intégration de la nature en ville en Amérique latine.
- Août : Suite à l’adoption d’un nouveau cadre mondial pour la biodiversité, création par le GEF d’un nouveau fond mondial pour la biodiversité.
- Septembre : Signature du traité sur la haute mer (BBNJ) pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale.
- Octobre : Publication du nouveau rapport d’activité du FFEM.
- Décembre : Signature à l’unanimité d’un accord prévoyant une transition hors des énergies fossiles à l’issue de la COP28 sur le climat à Dubaï.

- Février : Lancement de l’appel à projets « One Health » portant sur la lutte contre les facteurs de pollution impactant simultanément la santé des écosystèmes, de la faune et des populations locales.
- Mars : Premier forum mondial « Bâtiments et Climat » co-organisé par la France et le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE).
- Mai : Publication par le FFEM de la note « Accompagner les porteurs de projets mobilisant l’outil « finance carbone ».
- Juin : Conférence internationale de haut niveau « Immersed in Change » en préparation de la troisième Conférence des Nations Unies pour l’Océan (UNOC) co-organisée par la France et le Costa Rica.
- Ratification du traité sur la haute mer (BBNJ).
- Octobre : COP16 première conférence depuis l'accord de Kunming-Montréal de 2022, portant des objectifs ambitieux pour la protection de la biodiversité.
